Auteur : Yamada Taichi
Titre : Présences d’un été
Titre original : Ijin-tachi to no natsu
Editions : Picquier poche
Pages : 222 pages



Résumé : Harada, célèbre scénariste de séries télévisées, est séparé de sa femme et de son fils. Il vit maintenant seul, à quarante-sept ans, dans son appartement professionnel situé dans une résidence abritant des bureaux, déserte la nuit. Cet isolement volontaire au cœur de Tokyo, au cours de cet été torride, marque pour lui le début d’une errance intérieure qui le conduit à renouer avec son passé. Dans ce repli du temps, propice aux dialogues avec l’invisible, quand dans un rêve éveillé les fantômes de ses parents disparus le retiennent vers un paradis perdu, chimère ou réalité, seul l’amour de Kei qui tente de le ramener à la vie dissipera les dernières illusions de la nuit.

Mon avis : Ce roman est un peu spécial qui ne m’a pas déplu outre mesure. Il nous parle de la mort des êtres chers qui reviennent en fantômes pendant quelques instants, comme si ils leurs restaient quelque chose à accomplir sur terre. Il pourra passer quelques jours avec ses parents disparus beaucoup trop tôt alors qu’il avait à peine 12 ans. Une fois que ses parents seront repartis dans le royaume des morts, il renouera les liens avec son fils, ses amis et les personnes de son travail. Outre le faite que le livre parle de mort et de fantômes, il n’est pas du tout lugubre ou quoi que se soit. Il se laisse lire assez facilement. Un roman facile à  lire pour découvrir la littérature asiatique.
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